Jerk, de Gisèle Vienne et Jonathan Capdevielle

Par Isabelle Barbéris
Français

Performance solo inspirée d’une nouvelle de Denis Cooper et mettant en jeu les techniques du « corps-castelet » et de la ventriloquie, Jerk est la reconstitution corporelle d’un fait divers américain des années 1970, l’inscription sur un corps de plusieurs scènes de crime devant une fiction d’auditoire théorique. En glissant de la marionnette à la ventriloquie, le spectacle met en scène une défiguration des personnages à l’intérieur du « corps-caméra » (Catherine Perret) du performeur.

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